The following is my findings duirng my reserch in the region of Gao, Mali that I submitted to the Ministry of Education in Bamako, Mali this past June. I apologize if one has a difficult time understanding French or perhaps my use of it but I saw it as necessary to submit my findings in the French language for Malian officials who are interested in my research.
RAPPORT DE MISSION
La Sécurité Alimentaire Chez Bergers/Pasteurs Dans la Région du Gao
- 20 Novembre 2006 jusqu’au 31 May 2007 –
Franklin Graham
(Autorisation de Recherche n° 067/2006 – MEN/CNRST)
J’ai effectué 262 interviews aux localités autour la région du Gao « spécifiquement 104 à Gao ; 76 à Ménaka ; 26 à Tidarmène ; 25 à Tacharane ; 23 à Tin Abao et 8 à Emnaghuil ». Ma recherche porte sur le sujet des moyens d’existence chez bergers/pasteurs à partir de l’année 1968 jusqu’au présent. J’ai adressé des questions tel que : Comment les choix des bergers/pasteurs ont changé depuis les années 1960s et quelles sont les conséquences des ces changements sur la sécurité alimentaire.
Les Différences Entre Les Sites de la Recherche
C’est évident chaque éleveur fait face aux défis différents à la mode de vie. Mais on peut estimer la vulnérabilité de la sécurité alimentaire par regarder comment la mode de vie a changé durant les crises des sècheresses de 1973 et 1984 et la rébellion. J’observais un peu des tendances qu’existent au même endroit et ces tendances révèlent directions possibles à diminuer la risque de la famine et s’améliorer la sécurité alimentaire pour la région du Gao.
Les éleveurs à Gao partagent généralement le même problème. Le coût d’entretenir les cheptels est cher. L’eau est difficile de trouver pour les habitants de banlieue et pour tout le monde les aliments du bétail sont très cher pendant la saison soudure. De nos jours, il y a une service moins cher par mois où d’un berger conduit des animaux durant les jours, mais ce système ne satisfait pas touts les besoins de nourrir les animaux. Le gens doit payer pour les aliments du bétail. Quelqu’un vend des têtes de trouver les moyens de les acheter. Les autres ne mangent rien deux ou trois jours chaque semaine d’économiser et les garder. Durant la longue durée d'une vie ça résulte dans sous-alimentes. Le gens qui n’a pas les moyens de vacciner les animaux fait un risque. Les cheptels en ville ne circulent souvent et n’ont pas la même résistance des malades comme les troupeaux en brousse. Quelqu’un voit leur troupeau diminue chaque année à cause des malades.
A Tacharane « un village 25 km sud-est de Gao » le défi pour les habitants qui fait l’élevage est la santé des animaux. Quelqu’un vaccine leur troupeau chaque année. Le reste trouve l’assistance des organisations non gouvernementales ou l’état ou l’armée américaine qui viennent de vacciner des bêtes. Mais le problème de santé des cheptels tient. Les individuels qui possède plusieurs têtes emploie un, deux ou trois bergers par saison d’utiliser les pâturages au Haoussa [la région occidentale] durant la saison froide et le Gourma [la région orientale] durant la saison soudure. Néanmoins ils perdent des têtes à la fin d’hivernage et pendant la saison soudure. Les autres qu’ont moins de dix têtes et font une ferme d’élevage ont été lentement perdu cet activité parce qu’ils n’ont pas les moyens à remplacer les têtes perdues.
Emnaghuil est un village 40 km nord-est de Gao. Avant la sècheresse de 1973 le village n’est pas existé mais après la crise les éleveurs y sont graduellement installés. Là-bas le grand menace pour la mode de vie et en suite la sécurité alimentaire est la destruction de la base des ressources naturelles. Les résidents ont remarqué la quantité et la qualité des arbres locaux c’est diminué depuis les années 1970s. Plus important les sources d’eau sont limité et ceux qu’est exploité sont en train de disparaître. La nouvelle construction des bâtiments au marché et le transport de Gao amènent les aliments au village mais les résidents n’ont plus l’argent à acheter les condiments extérieurs. Quand on voit l’avenir le gens n’aura pas le choix sauf à vendre les animaux ou déménager à autre lieu.
Les habitants de Ménaka ont discuté que les politiques locaux limitent leur accès aux ressources naturelles. En raison des politiques des éleveurs ont construit leurs maisons à Ménaka-ville mais ils restent en brousse plusieurs de temps d’éviter des taxes. Le reste essaie à diversifier la mode de vie par faire le pêcheur, le commerce et l’agriculture mais ces activités sont limités par politiques aussi. En plus certains ont expliqué le problème de prestige s’affecte la sécurité alimentaire des familles à la région. Les questions qu’on pose au gens ne lient pas à ce phénomène mais des personnes ont franchement dit que leurs égaux mangent mal pour garder les gros troupeaux.
Tidarmène « un village 120 km nord de Ménaka » s’est devenu un lieu de concurrence entre les habitants. Plusieurs organisations non gouvernementales marchent dans le village, y compris Zébu Azawack, OXFAM et PADENEM. Ils y sont venus à développer le secteur pastoral mais un peu des familles recevaient les bénéfices. Certains éleveurs regardent tellement l’aide des organisations non gouvernementales comme le népotisme et ils ne confient ni organisations non gouvernementales ni l’état. C’est possible cet aliénation s’est expliqué le lancement de la rébellion dans la région a 1990. Quand même la majorité porte la même mode de vie comme les générations avant les sècheresses et la rébellion : principalement l’élevage et deuxième le commerce.
Tin Abao et les villages voisins tel que In Gouyas et Inkiringiya sont 20 à 25 km sud-est de Ménaka. Les résidents ont diversifié leurs moyens d’existence partialement à cause des sècheresses et la rébellion et partialement à cause des projets des organisations non gouvernementales. Ces organisations ont encouragé la diversité des activités par amener l’assistance dans le domaine d’agriculture et autres métiers aux habitants. Le gens sème et récolte des légumes tel que la salade, la tomate et le concombre. Dans l’idéal un villageois peut vendre les légumes pour l’argent d’acheter les grains mais on est dépendant sur des commerçants qui passent les villages durant la saison froide. Parfois ils les ont vendu, parfois ils les ont consommé. La consommation des légumes par les résidents est seulement un bénéfice temporaire parce qu’ils diversifient leurs régimes alimentaires mais à la longue durée c’est une perte parce que le temps et le travail pouvaient aurais réparti à l’activité principale dans la région : l’élevage. C’est observé que l’élevage est en train de diminuer en importance comme le gens déplace leurs efforts aux l’agriculture, le commerce ou autres modes de vie.
La Tendance Entre Les Sites de la Recherche
Chaque lieu possède des caractéristiques qui sont unique et individuel mais au même temps il y a une tendance entre les villes et villages dans la région du Gao. Le gouvernement malien, les organisations non gouvernementales, la banque mondiale, et individuels qui donne financement et/ou l’assistance technique à la région poussent les éleveurs locales dans un système monétaire et se les forcent s’installer dans les endroits. Quelque assistance encourage la commercialisation et spécialisation d’élevage au le même temps les autres se l’opposent par à promouvoir la diversité de la mode de vie. Mais tous les acteurs dans le domaine de développement sont influencés les pasteurs/bergers d’utiliser l’argent dans leurs échanges et pour eux à résider le même endroit.
L’avantage d’un système monétaire est un universel méthode de changement entre les marchandises et les services. Les alternatives sont un système de la solidarité et un système d’échange sans l’argent. Les règles et les conditions ne sont pas les mêmes entre le gens ou les lieux donc quelqu’un préfère un système monétaire. En plus les avantages pour le gens qui sont fixé le même endroit sont la normalisation des noms pour endroits et meilleurs moyens de communication. Quand peuple sont constamment mobile il n’y a pas un nom fixé pour un endroit parce qu’autres s’appelle le même endroit un nom différent. En plus les langues et moyens de communication varient entres les groupes quand ils déménagent toujours. Donc, les organisations d’aide essayent à créer les universels pour les éleveurs dans cette région.
Le désavantage avec un système monétaire est les inégalités que déjà existe dans l’économie malienne. Souvent les éleveurs sont illettrés et ils ne comprennent bien le système monétaire. Un peu des commerçants les profitent durant les échanges et la suite de la perte, les éleveurs vont retourner aux systèmes de la solidarité et les changements sans l’argent. Le désavantage avec la sédentarisation des éleveurs est la gestion des ressources naturelles. Autrefois, les éleveurs connaissent un système de conserver les ressources naturelles quand ils circulent à la campagne mais de nos jours ils sont responsables pour le déboisement de localités où ils sont fixés. Donc ceux qui veulent rester le même lieu ont besoins d’apprendre un nouveau système de gestion les ressources naturelles.
Objectifs Scientifiques
L’objectif principal de cette recherche est pour on rédige un thèse doctorat. Pendant la recherche j’ai partagé mes observations avec la communauté d’organisation non gouvernementale et les autres qui travaillent dans le domaine de développement a la région de Gao. Cette année et la prochaine année je vais écrire deux articles scientifiques pour les journaux académiques. Cette recherche est la première partie de la recherche pour une subvention de « National Science Foundation », n° BCS-0622892. La deuxième partie de la recherche va effectuer au Niger commencent en Septembre cette année. A l’avenir, je voudrais retourner à Gao et Ménaka d’étudier la relation entre les activités pastoraux et la gestion des ressources naturelles.